Ce site est au sujet de Miragoâne, notre chère ville des Nippes, qui nous donne tant de souvenirs d’enfance. C’est aussi le site de tous les Miragoânais et des visiteurs qui y sont passés, soit en vacances, soit pour affaires, de courtes et de longues durées.
Nous voulons revivre ce passé, oui, revivre ces moments agréables, revoir ces photos à présent perdues ou tassées quelque part dans une boîte, ou dans un coin de tiroir. Qui se souvient de toutes les équipes de football de Miragoâne: Botafogo, Judex, Ajax, et tant d’autres? Qui se souvient encore de tous les corps de musique: Mélomane, La Muse, et tant d’autres? Qui se souvient d’un bon dimanche passé à la plage de Tit-Anse, à Carénage, Source Salée, Trou-Mouton, Lot-bò Pont? D’une fête champêtre à Lebrun, à Cholette et La Saint-Jean alors? Qui se souvient de tous les médécins qui ont travaillé à Paillant, du temps de la Reynolds et compagnie? De tous les frères du Sacré-Cœur et des sœurs de la Sagesse qui nous ont formés avec une solide éducation. Education de base d’une très grande importance; surtout pour ceux que leurs parents ne pouvaient pas envoyer à Port-au-Prince pour continuer leurs études.
Nous voulons recueillir toutes ces informations de vous et les partager avec tous; et en même temps partager avec vous des informations, vidéos, photos, de la Miragoâne d’aujourd’hui.
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Envoyez-nous aussi vos idées pour ce site. Ensemble pourrions-nous travailler pour redonner à notre chère Miragoâne sa splendeur d’antan.
Comme nous l’a si bien dit, Carl Roc, le poète:
"What's on my mind? Où sont passés les Nadal, les Arnoux, les Gostal, les Kouri, les Tovar, les Barthélémy, les Bernier, les Kavanagh, les Derenoncourt, les Montpérousse, les Tadal, les Bruno, les Henri, les Faublas, les Jabon, les Pressoir et tant d'autres grandes familles qui faisaient autrefois la fièrté et la gloire de Miragoâne? Où sont-ils en ce jour? O Miragoâne, si tu pouvais revivre de tes cendres, que de déserteurs nous aurions vus en ce jour!"
Magnifique video de Guy Pageot, l'un des grand musiciens de Miragoane, sur notre ville cherie.
Nostalgie de quelques jeunes de Miragoane.
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My mother told me many times that the night before she was to be married, her childhood friend Gerard Dupervil, an aspiring singer showed up under her bedroom window with three guitarists and
serenaded her with a song he wrote for the occasion entitled " ADIEU MIRAGOANAISE ". Each time my mother told the story she sang the song again. As life would have it Dupervil moved on to become
famous as the lead singer of the renowned Jazz Des Jeunes and my mother remembered the song exactly all her life and often sang it at her piano. I wish I had learned it too, because 60 years after
the wedding I related the story to Gina Dupervil, Gerard's daughter and she also a singer, wept and said she would have loved to hear it; but sadly it was lost. I blame myself for not paying
attention.
Good job, nice memories of Miragoane, want to go back, keep posting them. Best time of my life!
Some folks, well meaning folks, lament what Miragoane looks like now compared to "back then" . That's a bunch of crap. The fact is there is no such thing as time; only right now counts. Enjoy "
L'instant Present" Yesterday and tomorrow are two impostors invented to distracts us from the present moment. RIGHT NOW! That's all there is. Miragoane is beautiful... NOW. Period.
The whole point of a great childhood, such as we had in Miragoane, is to recall everything and spend your life enjoying it again and again.
If you ever go to Miragoane, you must be aware that there is a disease there for which there is no cure. If you catch it you will have it for life and no doctor can do anything. Not even Sanjay
Gupta. ( In fact if he goes he might catch it too) The malady is called Miragoanitis; the symptoms are a deep love for the place and a yen to go back again and again. It may not be contagious but is
highly addictive.
It is a known fact that no one in Miragoane ever had or needed a watch. The church bell, ( St. Jean Baptiste ) will tell you what time it is every half hour and you can see her clock from wherever
you are. That's why Movado and Bulova never opened a store there. Rolex stayed the hell away too. Good!
When I was a kid they chimed it every 15 minutes. but the half hour chime was a little different sound and the hour chime was loud and the number of rings corresponded to the time 12 for 12 10 for 10
2 for 2 etc. and any where you were in the city you could look at the church tower and see the time.
What I wouldn't give to wake up again one day to the crowing roosters, the market chatter, the smell of good coffee and the greetings of Machann Acassan in Miragoane.
Ralph, mon cher je te felicite pour cette grande initiative, il etait vraiment temps qu'on cree un tel site pour notre chere ville cherie (Miragoane), je suis de la generation 69,70 j'ai eu la chance
de vivre pas mal de chose de mon enfance, mais quand on voit la facon que se deroule la situation dans notre ville, on dirait que Miragoane est une ville abandonnee par ses propres enfants cheris,
j'aimerais bien revivre pas mal de belles choses qui m'ont manque malheureusement comme on le dit souvent " tan ale pap tounen" ! Encore une fois Ralph je te presente toutes mes felicitations de
cette bonne initiative, et je mets a ta disposition, disons a la disposition de ma ville pour pouvoir apporter ma touche pour la rehabilitation de notre chere maman cherie qui est notre ville
Miragoane ! Je t'aime Miragoane !!!
A mes très chers Miragoânais, à tous mes frères haïtiens vivant, à l’intérieur et l’extérieur du pays, enfin, au monde francophone dans toute sa plénitude, je vous salue, en toute sincérité, sur les
trois points…
Il m’est arrivé souvent de penser à quelqu’un d’autre pour écrire l’introduction de mes livrets et, à chaque fois, je me suis demandé pourquoi. Car, du cœur au papier, la sincérité de l’auteur sera
toujours la meilleure. J’espère, en toute franchise, que j’aurai autant de critiques que de fanatiques.
Vous, Haïtiens mes frères et vous autres, francophones et francophiles, me demandiez souvent pourquoi j’écrivais seulement en Anglais? Je vous ai toujours dit que le temps viendra où vous aurez
l’opportunité de me lire dans ma langue maternelle, autant que dans celle de Voltaire, Victor Hugo, Jean-Paul Sartre, pour ne citer que ceux-là…
Faites-en bonne cause!
O Miragoâne, tu es devenue une ville de marché! Je t’ai vue, moi, agitée, agaçante, abêtissante jour et nuit, avec toutes ces transactions de ces gens d’ailleurs. Des gens que tu ne connais même pas!
Ils ne ne sont point de ta matrice. Ville où tout un chacun piétine l’espace de l’autre, sans respect ni regret. Où se trouve-t-elle maintenant, le centre de ton âme? Où sont-ils, tes Miragoânais,
Miragoâne? Chalon ou Paillant? Carrefour-des-Ruissaux ou Lòt Bò Pon? Où, Miragoâne? J’y étais et n’en vis pas beaucoup! Malgré tout, tu seras toujours ma Miragoâne!
(Introduction of my booklet of poetry called 'Miragoâne')
Je ne peux jamais oublier mon enfance a Miragoane, ma ville natale. j aimerais retourner un jour.
(Mireille Manoly)